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J’ai rencontré Frank et Marleen pour la première fois au salon de la Rochelle en septembre, sur le stand Alubat. Je les avais contactés car ils vendaient leur Ovni 365, basé à Ushuaïa. A l’époque, le choix du voilier n’était pas encore fait, et mon coeur balançait fortement avec un Ovni 365. Celui de Frank et Marleen était très bien équipé pour les hautes latitudes, ce qui m’intéressait fortement. Nous organisons donc une visite, bloquons les dates, et je réserve les billets d’avion pour le mois de janvier prochain. Entre temps, après beaucoup d’interrogations et de réflexions, avec Roxane nous optons pour un voilier neuf. J’informe Frank de ce choix, et puisque tout était déjà organisé pour le voyage, nous décidons de maintenir ma visite. Et voici comment je me suis retrouvé le 10 janvier 2015 à marcher sur le ponton du Club Nautico d’Ushuaïa, pour embarquer à bord de Firiel pour deux semaines de navigation dans les canaux de Patagonie. Ushuaïa n’est pas dénuée de sens pour moi, et démarrer ce projet par cet endroit si particulier est un symbole fort. La terre de feu, les glaciers, le Cap Horn, tout ici a un goût de bout du monde et représentait pour moi la nature à l’état […]Read More
Le Grand Pavois de la Rochelle : c’est là que tout a (re)commencé. Depuis aussi longtemps que je me souvienne, l’eau et la nature sont mes éléments de prédilection. Un peu plus tard est arrivé cette attirance pour les voiliers et l’envie de larguer les amarres, je devais avoir 8 ou 10 ans. Mais qu’est-ce qui fait qu’un jour, on puisse sérieusement penser à tout plaquer, quitter sa vie, sa famille, ses amis, son travail, avec une seule certitude en tête : « C’est ça. C’est ça que je veux faire, et je veux le faire maintenant ». Le plus ancien souvenir remonte au temps des colonies de vacances, au bord de la mer, où je racontais à un de mes camarades, qui devait en avoir aussi marre que moi des randonnées en groupe, que plus tard quand je serais grand, j’aurais un voilier et je serais libre. Je devais probablement déjà y avoir longuement réfléchi pour lui livrer cette conclusion avec autant d’aplomb. En grandissant, j’entendais le bruit des vagues, le claquement des voiles, ou sentais la rugosité du teck sous mes pieds lorsque les cours étaient ennuyeux, le temps trop long, ou le sentiment de ne pas être à ma place trop présent. Les océans étaient devenus […]Read More
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